Le mystère du lac

Le mystère du Lac

Nouvelle saga de la rentrée proposée par TF1, « Le mystère du Lac » va plonger les spectateurs au cœur d’un grand mystère à partir du jeudi 3 septembre 2015.

Les six épisodes de cette mini-série vous livreront les secrets d’une communauté bien plus complexe qu’elle en a l’air

 

Distribution :

BARBARA SCHULZ : Lise Stocker
LANNICK GAUTRY : Clovis Bouvier
ARMELLE DEUTSCH : Karine Delval
YRIL LECOMTE : Hervé Delval
CLAIRE BOROTRA : Patricia Mazaud
LAURENT BATEAU : Nicolas Mazaud
EMILIE CAEN : Valérie Fourmont
ARIÉ ELMALEH : Thomas Mézières
PHILIPPE DUQUESNE : Serge Joufroy
VINCENT DENIARD : Rémi Bouchard
JACKIE BERROYER : Pierre Letizi
Et avec la participation de MARIE-ANNE CHAZEL dans le rôle de Marianne Stocker

Casting assez prestigieux : Barbara Schulz (Terre indigo) interprète ici le rôle d’une femme hantée par son passé, notons également l’interprétation de Marie-Anne Chazel (Les bronzés), extrêmement poignante dans le rôle d’une mère atteinte d’Alzheimer, sans oublier Arié Elmaleh, le grand frère de l’humoriste et comédien Gad Elmaleh…


Résumé :

Lise Stocker, flic de la crime, revient dans sa ville natale pour s’occuper de sa mère atteinte de la maladie d’Alzheimer…

Une jeune fille de 17 ans disparaît après la fête du village. Cette disparition bouleverse Lise : il y a quinze ans presque jour pour jour ses deux meilleures amies ont disparu sans laisser de traces…

Les deux affaires sont-elles liées ? Lise va-t-elle pouvoir faire la paix avec son passé ?

 


Interviews :

BARBARA SCHULZ est Lise Stocker.

Qu’est-ce qui vous a plu dans ce projet ?

A la lecture, j’ai aimé le suspense des scénarios et j’ai trouvé que Lise était un très beau personnage, complexe et brisé, très éloigné des pétillantes jeunes femmes que l’on me proposait habituellement. J’ai toujours été impressionnée par ces personnes qui continuent à vivre après la disparition d’un proche.

Comment décririez-vous votre personnage ?

A l’âge de 17 ans, Lise a perdu ses deux meilleures amies disparues mystérieusement un soir de fête foraine, elles n’ont jamais été retrouvées.Peu de temps après, elle a dû faire face au suicide de son père des événements tragiques qui n’aident pas vraiment à se construire dans la vie ! Quinze ans plus tard, devenue flic à Paris, elle a développé une sorte d’obsession pour ce type d’affaires et ne retourne que rarement dans son village natal. Mais en apprenant que l’état de santé de sa mère empire, elle revient s’occuper d’elle quelques jours. La disparition de la fille de la voisine la replonge alors dans le passé, d’autant que les similitudes entre les trois disparitions sont troublantes dès lors, elle n’a plus qu’une obsession : découvrir ce qui est arrivé à ses amies. Elle pense avoir une lecture différente des événements grâce à sa profession. Et plus l’enquête avance, plus elle a des doutes sur la culpabilité de celui qui a été accusé à l’époque.

Comment avez-vous abordé ce personnage ?

En amont, j’ai beaucoup écrit sur Lise. Partant des informations existantes, j’ai extrapolé sur sa vie : ses rapports avec son père, sa vie en pension… Lise est épuisée, physiquement et moralement. Pendant le tournage, je n’ai donc pas voulu être très maquillée ou apprêtée.

Est-ce difficile de jouer un flic ?

Pour me familiariser avec cette profession, j’ai passé une journée à la crim’ avec des femmes capitaines. Je leur ai posé plein de questions. J’ai beaucoup appris à leurs côtés et repéré chez elles certaines particularités, comme leur grand calme et le fait qu’elles soient toujours en observation.

Vous apparaissez dans plusieurs flashbacks qui évoquent la complicité entre lise et ses deux amies. Vous êtes-vous facilement glissée dans la peau d’une jeune fille de 17 ans ?

Oui et j’ai adoré ! Je portais des Doc Martens à cet âge et je les ai rechaussées pour l’occasion ! Les deux jeunes comédiennes, âgées d’une vingtaine d’années, étaient vraiment drôles et sympathiques nous avons bien ri. Pour l’anecdote, j’emporte toujours mon ukulélé sur les tournages pour patienter entre les prises. Un jour, les deux jeunes filles ont commencé à chantonner avec moi. Elles avaient de superbes voix. J’ai pensé que ça ferait un beau moment de connivence pendant un flashback. J’en ai parlé au réalisateur qui a accepté. Mon ukulélé a même ensuite été installé dans le décor de la chambre de Lise.

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MARIE-ANNE CHAZEL est Marianne Stocker

Dans «le mystère du lac», vous apparaissez dans un registre assez inattendu…

Oui, je reçois rarement ce genre de proposition. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui m’ont poussée à accepter ce rôle! Marianne est un personnage trouble. Elle m’offrait une belle entrée dans un style que j’ai peu expérimenté pour le moment.

Comment vous êtes-vous préparée pour interpréter cette femme souffrant de la maladie d’Alzheimer ?

Je me suis renseignée sur cette maladie mais j’ai aussi malheureusement connu des personnes qui en étaient atteintes. Je sais cette souffrance qu’elles éprouvent, progressivement, à ne plus se repérer dans l’espace ni dans le temps. nous en avons beaucoup parlé avec le réalisateur, Jérôme Cornuau. Nous avons notamment beaucoup travaillé la silhouette de Marianne avec la costumière. Les personnes atteintes d’Alzheimer sont peu sensibles à leur allure, elles ne

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font plus la différence entre le jour et la nuit. Ainsi, Marianne est toujours habillée de bric et de broc, rien n’est assorti.

Avez-vous en tête une anecdote de tournage ?

Oui, il s’agissait d’une scène assez dramatique, mais jouer avec un revolver m’a énormément fait rire ! C’était la première fois que je devais le faire sans être dans un registre comique, réussir à faire peur, une arme à la main, n’est vraiment pas évident ! J’ai eu beaucoup de mal à conserver mon sérieux.

 

 

Source : Aurélie Binoist Communication externe et communication artistique du groupe TF1 avec autorisation de publication.

Photos : François Lefebvre / Eléphant Story / TF1